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Le jeu qui m'a rendu le plus heureux? Probablement Perfect Dark, qui m'a complètement hypnotisé quand j'étais plus jeune. Le gameplay, la campagne fascinante, un je-ne-sais-quoi qui m'a absorbé. Le premier jeu que j'ai complètement terminé :)
Post edited April 02, 2021 by JordanR-R
Bonjour à tous !

C'est assez compliqué comme question... comment choisir entre le plaisir ressenti à enfin retrouver Yenn.. Ciri, celui procuré par la destruction de la base des Moissonneurs ou celui transmis par la résolution des énigmes d'Escaton ? Quand bien même, ces jeux rendent-ils vraiment heureux ou ne s'agit-il que de plaisir éphémère ? Cette sensation d'en finir avec un univers laisse toujours un sentiment amer, mais je pense que oui, je peux considérer que certains RPG m'ont rendu vraiment heureux.

Cependant, même en étant un adorateur de l'univers du Continent, je pense que le jeu m'ayant rendu le plus heureux est tout simplement... Minecraft. Ai-je vraiment besoin d'argumenter ? Un jeu intemporel, un jeu social, un jeu novateur. À l'instar de beaucoup de joueurs de ma génération, j'ai grandis avec Minecraft, avec non seulement le jeu en lui même mais aussi sa communauté, avec les vidéastes la faisant vivre : Fanta&Bob, Aypierre, Azndarkproduction... Ce jeu, en plus d'offrir une infinité de possibilité que ça soit via son moteur, via ses serveurs ou via ses mods, offrait et offre plus que les autres jeux : une excuse pour se rassembler entre amis, et pas qu'avec des joueurs expérimentés. Que se soit via des mini-jeux sur Hypixel, une aventure moddée ou un PVP-faction, il y a toujours un moyen de s'amuser avec des amis, de renforcer ou de nouer de nouvelles amitiés, et cela dure depuis presque 10 ans. Minecraft est un jeu universel, intemporel et encore aujourd'hui il m'arrive de jouer avec des connaissances, expérimentée ou non, et de nouer des amitiés. Bref, je pense sincèrement que le jeu m'ayant rendu le plus heureux - et contribuant toujours actuellement à mon bonheur - est de loin Minecraft.
Post edited April 02, 2021 by TheLokj
MOn jeu qui ma rendu le plus heureux a été le fameux Age of empires 1 et 2 , quand j'étais tout petit j'ai passé des heure a jouer au 2 avec le vieux ordinateur de mon père, sinon j'ai adoré la découverte que fut the witcher ou encore Bannerlorde ces deux jeux mon ouvert de nouvelle perspective incroyable, j'adorais y jouer avec un ordinateur décent qui ne flanche pas au 5 minute :D Les jeux de stratégie et a saveur historique mon toujours amusé grandement, grâce a eux je suis maintenant en enseignement de l'histoire à l'université et je ne sait pas ce que je serais devenu sans cette passion du jeu vidéo
Post edited April 02, 2021 by Bruno_Derome
Aliens vs Predator 2.

Première raison c'est la qualité même du jeu, excellent FPS, très fun, bonnes maps, bonne OST, doublage français très sympa.

Deuxième raison, ma préférée, c'est que je l'ai découvert avec mon père. On y a joué ensemble en se partageant le clavier et la souris, l'un gérait le mouvement et l'autre la souris donc l'attaque et la caméra, un beau bordel mais très drôle.

J'y ai ensuite joué en multijoueur, qui était vraiment génial, et j'ai convaincu mon frère d'y jouer quelques temps avec moi pour défoncer d'autres joueurs en ligne !

C'est donc un de mes souvenirs préféré ce jeu, que ce soit la campagne solo ou le multi, rien à redire dessus, j'y retourne de temps en temps avec beaucoup de nostalgie, et j'espère qu'un jour il sera dispo sur GOG, il mérite d'être conservé, redécouvert par d'anciens fans et découvert par des gens qui n'ont pas eu l'occasion d'y jouer à l'époque !
Pour moi c'est Borderlands et sont univers déjanté, complètement loufoque
The Elder Scrolls III : Morrowind !

Ah… Morrowind… que de souvenirs… Vvardenfell, le Mont Ecarlate, Vivec… des noms qui résonnent encore dans mon esprit, chargés d’émotions, empreints de mystères… Rien, ni le temps qui file (presque vingt années déjà depuis sa sortie!), ni ses suites (Oblivion en 2006 puis Skyrim en 2011) ne m’auront fait oublier Morrowind.

Alors chaque année, je me reprends à ôter délicatement le jeu de sa vieille boîte cartonnée, toujours impatient à l’idée de fouler une fois encore le sol de Vvardenfell et de revoir la majestueuse cité de Vivec émerger du brouillard. Oh, je ne m’éternise pas en Morrowind ! A l’image d’un vieux pèlerin, je me contente de marcher dans les chemins que j’ai tracé voilà des années, simplement heureux de revoir les rivages de cette île mystérieuse, de redonner corps à mes souvenirs, enfin, heureux de renouer avec le passé. Les choses vont rarement plus loin.

Il faut dire que le jeu a tout de même vieilli. Ses détracteurs ne manquent d’ailleurs jamais de pointer du doigt ses graphismes désuets et la lourdeur de son gameplay… et il faut bien l’avouer, ils n’ont pas tout à fait tort. Alors quoi ? Pourquoi y revenir sans cesse ? Après tout, il y aurait bien d’autres horizons à explorer, d’autres aventures à vivre ! La nostalgie ? Sans doute. Oui, c’est vrai, la nostalgie est un sentiment fort mais elle est loin de suffire à expliquer un engouement si durable. Je crois que Morrowind est tout simplement un jeu exceptionnel. C’est une quête initiatique, c’est la découverte d’un monde inconnu et mystérieux. Joueur, personnage, nous ne sommes qu’un même étranger perdu sur une terre étrange.

Marquée du sceau de l’étrange, l’île de Vvardenfell l’est assurément. En son cœur se dresse le Mont Ecarlate, le volcan qui, depuis des milliers d’années, modèle Vvardenfell. Sur ses pentes abruptes et accidentées, les torrents de lave se sont depuis longtemps frayés un chemin vers l’océan, sculptant le paysage, creusant jusqu’à la mer de véritables tranchées, les foyadas, ou rivières de feu. L’île, façonnée par cette intense activité volcanique, abrite de nombreux écosystèmes, aussi variés que fantastiques, qui s’épanouissent aux quatre vents. Car outre le Mont Ecarlate, Vvardenfell ne compte pas moins de huit régions : les Terres Cendres, la Côte d’Azura, la Côte de la Mélancolie, Molag Amur, les Grandes Pâtures, la Faille de l’Ouest, les Iles Ascadiennes et Shéogorad.

Cette richesse se traduit par la présence d’une flore et d’une faune atypiques, souvent exotiques, parfois dérangeantes mais jamais artificielles. L’espèce végétale la plus emblématique, la plus impressionnante, de l’île de Vvardenfell est certainement le Parasol Empereur. Un champignon gigantesque, dont la taille égale bien souvent celle d’un arbre, qui pousse essentiellement dans la région des iles Ascadiennes et où il offre aux voyageurs fourbus un abri bienvenu contre la chaleur écrasante ou les averses fréquentes.

D’ailleurs, d’une manière générale, les champignons semblent bien adaptés au climat de l’île car on en trouve quantités d’espèces différentes. Il n’est pas rare en effet, lorsque l’on circule dans les marais de la Côte de la Mélancolie d’apercevoir, au travers du brouillard, la faible lueur bleutée d’une Russule Phosphorescente. Ailleurs, entre les racines pourrissantes d’un arbre mort, se tapissent des Coprin Violet ou des Hypha Facia. Un bonheur pour les alchimistes !

Mais tout cela il faudra le découvrir par soi-même. Inutile d’espérer un guide dans ce monde. Ni moi ni personne ne le fera. Et surtout pas ce foutu GPS totalement absent de Morrowind. L’outil semble être devenu indispensable dans tous les jeux récents… Ce GPS est une ruine ! Il empêche, étouffe, réduit, détruit toute immersion. A quoi cela sert-il de proposer des open world grandioses si l’on peut se contenter de fixer un marqueur sur une carte pour foncer ventre à terre d’objectifs en objectifs ? Oubliez ça dans Morrowind. Si l’on vous envoie dans une grotte pour y récupérer je ne sais quoi, tout ce que vous aurez c’est une série de points de repères (un carrefour, un rocher particulier, un détail topographique) susceptibles de vous conduire à bon port. Autrement dit, il est possible de se perdre. Et ça arrivera, croyez-moi. Pour s’en sortir, il faudra être attentif au paysage, poser des questions, planifier son voyage. Ne pas écouter les conseils des natifs de l’île c’est l’assurance de se retrouver à errer au milieu des foyadas des Terres-Cendres. Ça sent le vécu, j’y suis passé. Je m’en souviens encore très bien, j’étais à la recherche d’un tombeau dans la région de Molag Amur et je me suis fait surprendre par une tempête de cendres. La visibilité était effroyable et je me suis complètement égaré. Au bout de quelques temps, j’ai sacrifié (vraiment, à contrecœur) un parchemin de lévitation rare et particulièrement onéreux pour me sortir du pétrin et survoler ces terres accidentées à la recherche de cette fameuse tombe. Sur le coup je n’étais pas très content, aujourd’hui c’est devenu un souvenir fort. D’ailleurs, lors de sa sortie, le jeu était livré avec une très belle carte. Je crois que c’est l’unique carte en ma possession (et j’en ai quantité) qui soit écornée, déchirée, usée d’avoir tant servie. Et je trouve ça génial ! J’ai vraiment vécu ce jeu.

Il faudra du temps pour apprivoiser ces terres mais c’est une belle récompense de s’y sentir finalement à l’aise, d’en connaître chaque ravin, chaque colline, chaque passage enfin. Encore restera-t-il à en en connaître la faune. Et celle-ci n’est pas en reste car là aussi, Morrowind fait preuve d’originalité. Oubliez les poncifs. Ici, nul loup, nul ours dans les bois, point de minotaures dans les labyrinthes ni de zombies dans les tombeaux. Gare en revanche aux Guars et aux Alit, aux Netch et aux Kwama… ! Et que dire des échassiers des marais, ces immenses insectoïdes qui me terrifiaient lors de mes premières parties !? Comme je craignais alors qu’ils ne m’embrochent de leurs gigantesques pattes chitineuses et griffues ! Mais non, ces formidables créatures, parfaitement domestiquées, sont en fait un excellent moyen de transport dans les zones marécageuses.

Mais le plus merveilleux, ce n’est pas cette profusion de plantes exotiques et de créatures étranges, non ! car cela, n’importe quel designer peut le concevoir et il existe même des jeux où flore et faune sont générées de façon procédurale. Ce qui est formidable, c’est l’exceptionnel qualité de la direction artistique de Morrowind. Chacune de ces plantes, chacun de ces animaux semblent avoir une raison d’être. Le fantastique et le cohérent avancent ensemble.

Politique, religion, corporations, guildes… des dizaines de factions qui tentent de tirer leur épingle du jeu. L’île est un gigantesque échiquier où les alliances se nouent et se défont au gré des circonstances. A chacun de naviguer au mieux dans cet écheveau d’intrigues. Autant le dire, il ne sera pas possible de satisfaire tout le monde. N’attendez aucune reconnaissance du Temple et de ses membres si vous fricotez avec le Culte Impériale, n’espérez aucune aide de la Guilde des Voleurs si vous courtisez celle des Guerriers.

D’ailleurs, d’une manière plus générale, en début de partie il ne faudra espérer de l’aide de personne. Les Dunmer forment un peuple dur et inamical, dont le tempérament difficile a été forgé par un climat rigoureux et une histoire émaillée de tragédies. Si chacune des Grande Maison a ses priorités (l’honneur, la puissance, l’argent…) tous les Dunmer partagent une même fierté, un même orgueil. N’attendez aucune reconnaissance de leur part, vous n’êtes qu’un étranger à leurs yeux. Au mieux, vous serez ignoré, au pire, ouvertement méprisé. Gardez espoir ! Faites preuve de patience, rendez-vous utile, dialoguez surtout et un jour, après quelques transactions rondement menées, vous aurez la chance d’entendre un marchand vous gratifiez d’un (presque) chaleureux « Bonjour, que puis-je pour vous ? » en lieu et place d’un acrimonieux « Que voulez-vous ? »

Evidemment, la discussion est un passage obligé pour obtenir et conclure des quêtes mais au-delà de ces simples interactions rendues nécessaire par les mécaniques de jeu, les conversations sont d’une incroyable richesse ! On y apprend quantités d’histoires, d’informations (utiles ou non), de rumeurs (qui conduisent parfois vers des lieux et des aventures qui ne seront jamais mentionnées nulle part ailleurs qu’au détour d’une conversation tout à fait anodine), de morceaux de vie…

Il y aurait sans doute encore beaucoup à dire sur cette île mais il faudra jouer pour le découvrir !

J'ai eu, j'aurai encore beaucoup de plaisir à jouer à ce jeu.
Post edited April 02, 2021 by Vinmole
Mon cœur balance entre ArmA: Cold War Assault et Fallout: New Vegas ...
Comme ArmA est le premier qui m'est venu en tête, c'est de lui que je vais parler.

ArmA: Cold War Assault, anciennement Opération Flashpoint, a été acheté par mon père alors que je n'étais qu'un jeune enfant.
Toujours curieux, je voulais absolument voir ce qu'il faisait sur son étrange machine à tubes cathodiques.
Je passais des heures sur ses genoux ou à côté de lui, à regarder ces étranges personnages qui parlaient dans une langue que je ne comprenais pas. Ce fut mon premier contact avec la langue anglaise.
Pendant des heures et des heures, je le regardais jouer, je comprenais assez rapidement.

En effet, ArmA fait partie des jeux très faciles à apprendre mais difficiles à maîtriser entièrement.
Alors que je n'avais même pas dix ans, je démarrais ma première campagne, voulant faire comme mon père, essayant d'aller plus loin que lui dans le jeu. Je n'étais pas au bout de mes surprises !

Je me pris de passion pour ce jeu, où l'on commence comme simple fantassin en camp d'entraînement, qui se retrouve bien vite propulsé en plein milieu de la troisième guerre mondiale. Avec un équipement des années 80, le joueur devait gravir les échelons, passant de troufion à commandant.
On y voyait la guerre à travers les yeux de plusieurs personnages : la recrue qui devient commandant d'escouade ; un chef de char un peu raté qui tente de se faire une place ; un pilote d'hélicoptère et enfin, un éminent membre des forces spéciales.
Les missions étaient toutes plus variées les unes que les autres : une simple patrouille ; une embuscade à monter soi-même ; le sauvetage d'otages ...

Le scénario, bien que basique tenait en haleine.
Les deux extensions du jeu lui apportait des dizaines d'heures supplémentaires.
En plus de la campagne, il y avait un mode multijoueurs (auquel je n'ai jamais touché), un mode mission unique.
Aussi, je me souviens avoir passé des centaines d'heures sur l'éditeur du jeu, à tester des choses ou à construire des petites missions.

Enfin, les musiques du jeu resteront à jamais gravées dans ma tête.

ArmA: Cold War Assault posera les bases de la série, qui ne parviendra jamais à réitéré, mais peut-être est-ce la nostalgie qui parle.

Le jeu m'a tellement passionné, que c'est lui qui m'a introduit à l'univers vidéo-ludique et qui m'a donné envie de faire de l'armée mon métier.

Aujourd'hui, bien que dépassé techniquement, il reste toujours un réel plaisir à parcourir !
Chrono trigger, sur ds
Ah, quelle belle époque... J'étais jeune et je n'étais pas prêt pour le choc qui allais m'arriver. Ce monument du rpg a bercé ma jeunesse. Tout y était merveilleux, le gameplay, les personnages, l'ambiance, le scénario, et les OST que je me surprend à écouter encore aujourd'hui. En plus de m'avoir rendu heureux et de m'avoir laissé des souvenirs impérissables, c'est ce jeu qui m'a fait aimer le jeu vidéo et qui m'a poussé dans le domaine. Un mélange de nostalgie et de joie donc, mais aussi une véritable admiration devant ce chef d'œuvre. D'ailleurs, jouez y si ce n'est pas déjà fait !
Post edited April 02, 2021 by Canard-man
Fable, un des premiers jeu où on peut choisir d'être bon ou mauvais et où ça influait sur l'apparence du personnage.
Un pur chef d'oeuvre
Le jeu qui m'a rendu le plus heureux ?

Allez, je vais faire mon papy de service : Civilization de Sid Meier, sorti en 1991 sur PC !

Pourquoi ? Tout simplement car je découvrais que les jeux vidéos pouvaient être autre chose que des jeux de plateforme style Mario ou des jeux de baston style Street Fighter.
Qu'un jeu vidéo pouvait vous connecter à l'Histoire, aux civilisations anciennes.
Qu'un jeu vidéo pouvait vous apprendre des choses, vous donner le goût de creuser des sujets, vous rendre curieux.
Qu'un jeu vidéo pouvait vous apprendre à réfléchir à long terme, à planifier, à user de stratégie et de logique, et pas seulement d'habileté avec une manette.
Qu'un jeu vidéo peut ne pas avoir de fin, ne pas proposer la moindre partie identique et surtout laisser les joueurs totalement libres de mener leurs affaires sans qu'il soit possible de dire facilement quelle est la meilleure façon de jouer.

Bref, que les jeux vidéos étaient un univers naissant mais aux possibilités infinies et qu'il y en aurait pour tous les goûts...

Merci Sid Meier et merci à tous ces aventuriers-pionniers, passionnés, créatifs, parfois fous !, des jeux vidéos qui nous ont fait grandir dans un monde qui nous semblait sans limite et enivrant ! ;-)
Le jeu qui m'a rendu le plus heureux est Dragon Age 1. J'ai pu m'immerger dans un monde fantastique pendant plus de 100 heures, avec une histoire prenante et des compagnons attachants.
Sans trop réfléchir, parce que la question est ardue, je dirai Far Cry 3.
Plus que le jeu en lui-même (qui est très bon, à mon goût), c'est aussi parce que je l'ai eu avec mon premier ordinateur personnel.
Les jeux qui m’ont rendu le plus heureux : Faster than light pk parceque tout du jeux est génial.
Pour faire différent, je vais prendre un jeu plus récent.
Si je parle d'un jeu plus vieux je ne saurai lequel choisir, puis il y a la nostalgie qui risque de parler.
C'est le 1er jeu auquel je ne suis réellement lancé sur ma switch lite : Atelier Ayesha DX.
A l'époque j'avais pris 2 jeux de la série, parce que je voulais les tenter : Atelier Lydie and Suelle en version physique et Atelier Ayesha DX en version dématérialisé.
Alors au début j'ai été déçu : j'ai découverte en jouant au jeu que j'avais 2 ou 3 ans (temps du jeu, pas IRL) pour terminer la quête principal.
Après j'ai regarder des infos sur internet ,et j'étais à fond dedans...moi d'habitude quand je joue à un jeu ...je me lance dessus. 10 heures ou peu plus ... 20 heures, peut être. Après je l'oubli un peu et j'ai du mal à me relancer dessus. Evidemment, sans le terminer...(je les termine en général mais plus tard).
Celui la je l'ai pas lâché...c'était peut être court (ma console me dit 35 heure, c'est pas énorme quand on peu comparé à certains jeu), mais j'ai adoré l'univers, un espèce de monde rural dans un monde mourant.
Au final j'ai mis plus d'heure sur Atelier Lydie and Suelle. Mais je n'y jouais pas d'une traite. Je pense que c'est la limite de temps impérative de la quête principal qu'y m'a motivé.
En plus comme Ayesha DX étant une réédition d'un jeu plus tout jeune, tout les anciens DLC étant compris dans la version finale (les vêtements ou accessoires je m'en passe, mais je ne crache pas sur des personnages supplémentaires).
J'ai terminé Ayesha DX (surtout la quête principal, et j'ai adoré la musique du boss de fin,) il y avait un post game avec des quêtes plus poussé, mais je n'étais pas assez doué en alchimie, pour faire quelque chose. Mais je ne le regrette pas.
Post edited April 02, 2021 by Bapthomme
Cyberpunk 2077.

Pour son ambiance, son Univers, son immersion.

J'ai adoré jouer à ce jeu, j'en attendais beaucoup, et malgré les soucis qu'il y a eu avec cette nouvelle licence, j'ai hâte d'avoir la suite.

Les décors, les personnages, la bande son, les répliques, les missions avec beaucoup de clins d'oeil et de l'humour ainsi que d'autres sujets plus sérieux, passés et présents.

J'ai vraiment passé un excellent moment dans cet Univers. ^^