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Tellement de jeux que je pourrais citer mais il y a un quand même un qui sort du lot.

Le jeu qui rend le plus heureux est Kerbal Space Program, c'est d'ailleurs mon premier jeu acheté sur GOG.

D'une apparence enfantine se cache un jeu sandbox de simulation de programme spatial très complexe. A cela on rajoute les mods et les possibilités deviennent infinies.

Il m'a tellement appris sur la physique, la conception aéronautique, l'espace et surtout la navigation spatiale qu'il reste pour moi même a l'heure actuelle : indétrônable.
Les jeux qui m'ont le plus rendu heureux sont sûrement FTL pour sont voyage spatial des plus époustouflant, un game play simple mais pourtant tellement profond avec la gestion de sont équipage. Sa difficulté est des fois un peut relever mais malgré tout j'ai passer beaucoup de temps à voyager avec ma petite équipe ^^
Ensuite il y aurait le jeux de cartes Gwent, j'ai passer d'excellentes soirée entre amis dessus, que ce soit le design des cartes, les environnement et l'ambiance pendant les partie, c'est tellement plaisant
Le jeu qui m'a rendu le plus heureux ? Vous en avez de ces questions ! :-)

Vu que j'ai commencé ma carrière de joueur au début des années 80 à écumer les salles d'arcade, puis connu la grande aventure des micro-ordinateurs et enfin celle du PC (avec un tout petit passage par les consoles), eh bien ça m'en fait, des souvenirs ludiques...

Alors comment choisir un jeu parmi toutes les merveilles auxquelles j'ai eu le privilège de jouer ?

En fait, le problème ne se pose pas, car là, tout de suite, un titre apparaît comme une évidence :
THIEF : THE DARK PROJECT.

Pourquoi ?

Eh bien parce que c'est le premier jeu d'infiltration auquel j'ai jamais joué, et j'en suis tombé amoureux immédiatement. Pour l'époque (fin 1998), la réalisation était stupéfiante. Toute l'action se déroulait de nuit, dans une cité médiévale, et il fallait utiliser au maximum les coins sombres et la furtivité pour éviter les gardes. Car Garrett, le héros que l'on incarnait, était trop faible pour se battre contre des soldats lourdement armés.

C'est la première fois de ma vie de joueur que j'ai assommé des ennemis avec une matraque pour ensuite planquer leurs corps dans des recoins sombres. Jouissif ! Et il y avait aussi l'arc et ses différentes flèches : flèches classiques pour se battre, flèches à eau pour éteindre à distance les torches accrochées aux murs, flèches de feu pour éclairer, flèches bruyantes pour faire diversion... Cela permettait au joueur, de manière très élégante, de réussir une mission de mille façons différentes.

C'est aussi la première fois que le bruit fait par le joueur jouait un rôle primordial, car il attirait immédiatement l'attention des gardes. Et l'on pouvait entendre ces pauvres bougres marmonner, grommeler, jurer comme des charretiers, se parler à eux-mêmes (croyant être seuls au milieu d'une interminable nuit...). On s'y croyait ! Quelle ambiance, mes amis !

C'est aussi la première fois que j'ai joué un cambrioleur, raflant tout ce qui lui passait sous la main : pièces d'or, joyaux, argenterie, candélabres, tabatières de nacre... C'était un délice de s'introduire dans la demeure de hauts dignitaires, d'en faire le tour et de voler à tout va !

Mais tout cela ne serait rien sans l'extrême originalité du monde de THIEF. Car son univers était unique : il s'agissait d'un croisement entre l'époque médiévale et les débuts de l'ère industrielle. Dans les rues et les maisons de THIEF, on rencontrait des becs de gaz et des machines à vapeur ! D'où un effet de surprise source d'une expérience ludique exquise.

Et enfin, le clou du spectacle, c'était bien sûr la narration. L'histoire de THIEF, les rebondissements de son scénario, la sombre personnalité de son personnage principal font de ce jeu l'équivalent d'un excellent roman d'aventures. Chaque mission débutait par une séquence vidéo à couper le souffle, qui s'ouvrait toujours par un extrait des textes sacrés de la "secte des marteleurs", avec une musique d'ambiance hyper flippante. Ensuite, Garrett racontait les derniers événements, décochait ses piques sarcastiques, et décrivait les objectifs de la nuit suivante.

Je n'oublierai jamais les Marteleurs. Et donc je n'oublierai jamais THIEF.

En parler aujourd'hui me donne l'occasion de rendre hommage à ses créateurs, grâce à qui j'ai vécu une aventure à nulle autre pareille. Merci à eux !
Le jeu qui m'a rendu le plus heureux c'est Syndicate Wars. Univers cyberpunk, des augmentations cybernétiques, un environnement destructible (ahh la joie de détruire un immeuble avec la grenade nucléaire) et surtout le contrôle des foules. Et mon Pentium 166 mHz sans carte graphique arrivait à le faire tourner.
Dynablaster de Hudson Soft
le premier Bomberman que j'ai joué
sortie en 1992, j'ai dû y jouer l'année suivante.

Nous y jouions à 2 sur le même clavier avec mon frère & un ami
Comment nous étions sur le même clavier, il arrivait que l'un des joueurs appuie
par "accident" sur la touche bombe de l'autre joueur ce qui entrainait une réponse de l 'autre...
Il y a eu des chamailleries homériques :-)

Eté 2020, soit 27 ans après, chez mes parents j'ai joué avec mon neveu de 18 ans à ce même jeu
Le fun était toujours là, et il a apprécié nos parties.
comme quoi un concept simple marche toujours

merci Hudson soft !
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Post edited April 02, 2021 by chouetteunhibou
IL y en a tellement eu… De Baldur’s gate et Fallout à Dishonnored et Walking dead, en passant par Candle, Goetia, Inked ou encore Pinestripe… autant d’univers graphiques et sonores fascinants, autant d’aventures étonnantes, et parfois même éprouvantes. Et Styx, Stacking, Talos principle ! J’arrête là l’énumération : les jeux vidéos sont un tel vivier de talents ! Au passage, bravo à toutes ces équipes de créateurs (techniciens compris), un travail fantastique.
Mais c’est the Witcher III qui m’a le plus embarquée. Avec ce personnage principal, à la fois exaspérant et attachant, héros un peu bancal. Un scénario riche, quelquefois intrigant, quelquefois prévisible mais toujours cohérent, jamais manichéen. Des personnages secondaires bien campés, tant au niveau personnalité qu’au niveau représentation graphique, servis par de bons comédiens. Des passages savoureux, des moments lassants, des instants d’angoisse, de colère, de doute, de joie, des rires et des soupirs… bref, vivant. Les décors bien sûr, avec ces couchers de soleil du plus pur technicolor mais aussi quelques paysages mémorables (et ce p… de vent !) J’ai adoré me balader dans des peintures ou dans le livre de contes avec les excellentes extensions, de purs bijoux. Et puis un humour sous jacent, grinçant quelquefois, la dichotomie monstre-humain, les relations amoureuses ou amicales pas toujours simples… Par dessus tout ça des combats épiques, contre des créatures (ou humains) magnifiques ou odieuses, des explorations hasardeuses… Et la découverte du Gwent ! Tout y est soigné, ciselé : pour moi une grande œuvre d’art. Oui, je crois bien que c’est à lui que je décerne ma palme du jeu-qui-rend-le-plus-heureux. J’en suis à regretter de l’avoir déjà joué, je voudrais le découvrir encore et encore.
Et, sans fayoter, merci à Gog de faciliter l'accès à toutes ces merveilles !
Le jeu qui m'a le plus rendu heureux est Super Mario Sunshine ; je me souviens encore de mon émerveillement à l'ouverture de la boîte qui comprenait également la Gamecube, puis lors de la découverte des premières heures de ce jeu - et des suivantes ! Le soleil et l'ambiance tropicale qui allait en s'amplifiant (à tel point que les lunettes de soleil consituaient un confort appréciable en fin d'aventure), les secrets de l'île Delphino en compagnie de Yoshi, les longues heures passées à dénicher les pièces bleues cachées dans les palmiers, l'exotisme de la baie Noki, les rencontres agitées avec les catacouacs de Gelato-les-Flots... et le plaisir simple mais Ô combien réjouissant de nettoyer la moindre parcelle de l'île de la boue colorée qui la recouvre !

Bref, ce si agréable souvenir est très certainement lié au fait qu'il s'agissait du premier jeu reçu sur une première console de salon, après une attente beaucoup trop longue, mais Super Mario Sunshine restera surtout pour moi comme un jeu coloré, joyeux et intelligent qui prolongeait l'été à tout le reste de l'année !
Bonjour à toutes et tous,

Le jeux qui ma rendu le plus heureux est sans doute The Witcher 3 pour l’immersion et parce que j'affectionne cette licence !
Bonjour !

Le jeu qui m'a rendu le plus heureux... très difficile comme question ! Mais je dirais Heroes of Might and Magic 3, pour la nostalgie, le nombre d'heure passées dessus, le mélange RPG et stratégie avec un soupçon de gestion. Et puis, c'est le jeu qui m'a donné des bases d'anglais et qui m'a amené dans les univers mythologiques et fantastiques. Gloire à ce jeu !
Le jeux qui ma rendu le plus heureux est Age of Empire 1 et 2 qui ma vraiment intéressé pour les premiers dans leur genre.
Dungeon Keeper 1&2, parcequ'il est bon d'être méchant.

Et surtout que des comme ça on en fait plus.
Le jeu qui m'a rendu le plus heureux est x-com ufo defense, le 1er xcom de 1993.
C'est le jeux qui m'a fait acheter mon 1er pc, le jeux qui m'a fait découvrir le tactics, avec lequel je pouvais prendre mon temps, jouer 10 minutes ou 2 heures, découvrir les technologies sur l'arbre de recherche et améliorer l'équipement de l'équipe.
Avec les soldats qui pouvaient se mettre en embuscade en espérant que cela serait suffisant pour neutraliser l'ennemi alien qui se dévoilerait.
Puis recommencer en augmentant la difficulté, et en changeant l'emplacement de sa base de départ.
Tellement de bons souvenirs que je l'ai racheté sur votre site (le CD d'origine ne fonctionnant plus).
Difficile de faire un choix... Mais certains jeux restent gravés dans ma mémoire :

Sur Console : The Legend of Zelda: A Link to the Past (culte !!!)

Sur PC (hors GOG) : Detroit Become Human

Sur PC (GOG) : A Plague Tale : Innocence (juste devant Horizon Zero Dawn)

Et bravo à toute l'équipe de GOG ^^
Essayez quand même de proposer plus de versions FR please (surtout lorsqu'elles existaient lors de la sortie du jeu)
Le jeu qui m'a rendu le plus heureux est sans doute Metal Gear Solid 1 sur PS1 qui m'a introduit au monde des jeux d'infiltration !
Mon premier jeu en 3D, Star Wars Dark Forces.
Sorti en 1995, ce jeu m'a permis de m'immerger dans l'univers Star Wars en incarnant rien de moins qu'un jedi !
La liberté offerte par ce titre était fabuleuse; l'utilisation des pouvoirs de jedi était jouissive et les armes variées.
Du pistolet au fusil à concussion...mais surtout le light saber !
Les plates-formes de résolvaient grâce au saut de force et les actions déterminaient le côté de la force.
Par exemple détruire des droïdes menaient au côté obscure, libérant d'autres pouvoirs.
Bref, une tuerie en son temps (révolu).